Brassage

Naissance

Pour cette fin d’année 2018, je me suis mis en tête d’apprendre la fabrication de bière maison. Vous allez me dire que c’est surfait, mais moi j’aime beaucoup apprendre et faire par moi même. Enfin, c’est le cas pour mes services internet auto-hébergés.

Été 2018, j’ai beaucoup appris, par des tutoriels, des vidéos, avis… Tant sur le la méthodologie que sur le matériel à prévoir. Puis la révélation ! Le fait de rencontrer un ami brasseur, ça m’a déclenché l’envie de mettre en pratique.

Ce que je voulais c’est comprendre le processus en entier. J’ai donc opté par du tout grain, c’est à dire qu’on part à partir de malt d’orge à faire macérer en eau tiède avant de passer par l’ébullition. Il existe un certain nombre de raccourcis comme l’extrait de malt, c’est déjà prêt à être mélangé pour l’ébullition, ou encore les kits qui contiennent tous les ingrédients de A à Z avant le moins d’étape possible. Vous l’aurez compris, j’ai pris l’option “je veux tout faire”.

Matériel

Trois à quatre mois se suivent, je décide enfin de lancer les achats. Mes amis m’ont offert quelques outils biens utiles pour mon anniversaire :

  • 2 seaux de 5L (je les ai récupéré chez mon boulanger, ça sera parfait car j’ai qu’un cocotte minute de 7.5L)
  • 2 barboteurs avec joint
  • un serpentin pour refroidir (il m’a été offert, je pensait pas en acheter pour mon premier brassin)
  • Un densimètre + éprouvette (depuis la chine, ça se casse facilement 😉 )
  • Un réfractomètre (il m’a été offert, qu’est ce que c’est pratique finalement !)
  • Une capsuleuse + capsules 26mm
  • Des thermomètre (j’en ai pris plusieurs mais le mieux étant celui qui prend la température rapidement, c’est finalement le thermomètre déporté de cuisson qui est le plus pratique pour moi)
  • Quelques bouteilles 33cl récupérés

J’utiliserai ma cocotte minute pour l’empâtage et l’ébullition de mon brassin.

Brassage

J’ai aujourd’hui effectué 2 brassins, le premier a été un bonne surprise je trouve, le second est en fermentation.

J’ai opté pour me lancer dans un IPA, je les aime beaucoup et c’est les seules matières que j’avais pour réaliser. (oui j’ai commandé quelques malts, houblons et levures avant de d’établir la recette exacte). Du malt Pale ale et crystale, du houblon chinook, amarillo et cascade, de la levure Jack Mangrove M44.

Je vais pas vous refaire les étapes de brassage. Mais plutôt appuyer sur mes erreurs :

Le rinçage des drêches a été complètement bâclé. Dans le stress, je n’ai pas quantifié l’eau de rinçage à utiliser (d’ailleurs, j’ai encore du mal à comprendre combien).

Je n’ai pas mesuré la densité initiale après ébullition. Je ne connais pas le taux d’alcool de ma bière.

En l’absente total de glouglou après 4 jours (pourtant prononcé dans les premières 24h) j’ai décider d’embouteiller après 7 jours de fermentation et garder 4 semaines.

On ne voit pas à ce stade, mais le dépot au fond est de 10%

J’ai pas mesuré le sucre ajouté pour l’embouteillage (2 cuillères pour 3L. 1L étant que du dépôt de levure / protéine ? pas trop osé remuer le fond)

Dégustation très bonne, trop de dépôt, un peu trop de mousse si pas bien fraîche. J’ai été agréablement surpris par le gout.

Dans un sceau de peur qu’elles pètent…

Ce mois ci, j’ai entamé un ambrée. Avec le reste de mes matières (et en regardant ce qui s’utilisait en général pour ce type de bière hein !). La fermentation semble s’être interrompu ou bout de 48h. Je pense la laisser 10 jours avant de l’embouteiller.

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Jour 5 – Presqu’île de la Caravelle – Juillet 2018

Balade sur la presqu’île caravelle. Arrivés en voiture au chateau Dubuc, nous suivons le sentier de la grande boucle.

Arrivés en haut où se situe le phare de la caravelle, le plus haut placé de France sur ses 128m. On trouve une excellente vue sur la Martinique.

Nous terminons la ballade par la mangrove qui abrite une bonne faune.

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Jour 3 – Montagne Pelée – Juillet 2018

Ce jour, ascension de la montagne pelée.

Vue d’en bas, ça a l’air sympa. Le premier refuge est à 400 m du parking 🙂 Juste assez pour faire un aller-retour pour s’assurer d’avoir fermé la voiture.

Nous arrivons au refuge suivant après 1 h d’ascension et une pluie soutenue.

Chemin très difficile, encore plus lors des épisodes d’averses+vents lors de la descente. Ça souffle fort, que les gouttes frappent comme des aiguilles sur le visage, c’est pas facile pour descendre le chemin (en tape-cul / à reculons tellement il est abrupte en plus).

Grace à une seule éclaircie durant la rando (genre 45s sur 3h), nous avalons une pilule de panorama éphémère (vite ! l’appareil photo !). Ici vue au loin sur le village touché par la coulée, St Pierre.

Ci dessous, les dernières marches du retour. Ils ont du en chier pour tenter de faire ces “marches”.

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